jeudi 30 mars 2017
mercredi 29 mars 2017
mardi 28 mars 2017
vendredi 24 mars 2017
mardi 21 mars 2017
Indéfinis - pronoms et adjectifs
Les indéfinis regroupent les adjectifs indéfinis variables et invariables ainsi que des pronoms indéfinis variables et invariables.
Ils sont employés lorsque le locuteur veut généraliser quelque chose, lorsqu’il ne veut pas parler concrètement.
Le sujet et l’objet ne sont pas identifiés de façon précise.
Exemples:
- À chaque voyage, je fais de nouvelles découvertes
- Tout voyageur doit respecter les coutumes locales.
- Elle est partie sans aucun visa.
- Partir ! N’importe où, mais je veux partir !
- Moi, de toutes façons, j’oublie toujours quelque chose.
- Vous ne savez où aller ? Prenez le train, vous arriverez toujours quelque part.
lundi 20 mars 2017
C ou ç ? g ou ge ? C , ç ou CU ?
Précédant les voyelles A – O – U :
Lorsque la lettre C précède les voyelles A - O – U , on obtient le son : KA – KO – KU (ex. : un cahier).
Pour obtenir le son SA – SO – SU, il faut ajouter une cédille sous le C (ex. : un reçu ; une leçon).
Précédant les voyelles E – I :
Lorsque la lettre C précède les voyelles E – I , on obtient le son : SE – SI (ex. : une cible).
Pour obtenir le son KE – KI, il faut insérer la voyelle U entre C.E et C.I (ex. : une cueillette).
G, GE ou GU ?
Précédant les voyelles A – O – U :
Précédant les voyelles A – O – U :
Lorsque la lettre G précède les voyelles A – O – U, on obtient le son : GA – GO – GU (ex. : un gâteau).
Pour obtenir le son JA – JO – JU, il faut insérer la voyelle E entre G.A, G.O, G.U (ex. : un geai).
Précédant les voyelles E – I :
Lorsque la lettre G précède les voyelles E – I, on obtient le son : JE – JI (ex. : un gilet).
Pour obtenir le son GUE – GUI, la voyelle U est insérée entre G.E et G.I (ex. une guitare).
mercredi 15 mars 2017
mardi 14 mars 2017
15 fautes d'orthographe que beaucoup de personnes font (et comment les éviter pour de bon).
1. "a" ou "à" ?
Confondre le "a" du verbe et le "à" de la préposition est l'une des erreurs les plus courantes. Pour reconnaître lorsque vous avez affaire au verbe, passez à l'imparfait lors de la relecture. La différence entre verbe et préposition deviendra évidente.
Exemple : "Il a parlé à tort et à travers". En utilisant l’imparfait : "il avait parlé avait tort et avait travers", on se rend bien compte où il faut placer les accents.
Exemple : "Il a parlé à tort et à travers". En utilisant l’imparfait : "il avait parlé avait tort et avait travers", on se rend bien compte où il faut placer les accents.
2. "é" ou "er" ?
Pour savoir si le verbe doit être conjugué ou écrit à l’infinitif, il faut le remplacer par un autre verbe, comme faire ou vendre.
Exemple : "j'ai jeté l'éponge" remplacé par "j’ai vendu l’éponge" (et non pas "j’ai vendre l’éponge", donc "é").
Exemple : "j'ai jeté l'éponge" remplacé par "j’ai vendu l’éponge" (et non pas "j’ai vendre l’éponge", donc "é").
3. "ai" ou "ais" ?
Parfois, il est difficile de distinguer le futur "ai" du conditionnel "ais". Pour reconnaître le temps, remplacez par la première personne du pluriel (ou la troisième du singulier), la différence sera alors bien plus évidente.
Exemple : "je devrais ou je devrai (aller chez ma mère) ? A la première personne du pluriel cela donnerait : "nous devrions (aller chez ma mère) donc on écrira je devraiS (et non pas : nous devrons – futur –, je devrai).
Exemple : "je devrais ou je devrai (aller chez ma mère) ? A la première personne du pluriel cela donnerait : "nous devrions (aller chez ma mère) donc on écrira je devraiS (et non pas : nous devrons – futur –, je devrai).
4. Les noms à double consonne
Une petite astuce mnémotechnique existe : apercevoir (je n’aperçois qu’un "p" à apercevoir) ; chuter (on ne chute qu’une fois, un "t") ; nourrir (on se nourrit plusieurs fois par jour, deux "r") ; mourir (on ne meurt qu’une fois, un "r"), etc…
5. Les adverbes en "-ment" prennent un ou deux "m" ?
Fréquemment, remarquablement, abondamment... Vous ne savez jamais avec certitude dans quel cas la consonne redouble? Une règle simple existe pourtant : si la syllabe "-ment" est précédée du son "a" écrit avec un "e" ou un "a", l’adverbe prend deux "m", comme par exemple "évidemment" ou "élégamment". Si la syllabe ‘-ment’ est précédée d’un son ‘e’, comme dans ‘notablement’, il ne faut qu’un seul ‘m’.
6. Différence entre "convainquant" et "convaincant"
La règle orthographique est la suivante : "convainquant" est le participe présent du verbe convaincre - dès lors il est invariable - alors que "convaincant" est un adjectif. Pour savoir dans quel on est face au participe présent et non à l'adverbe, voici l'astuce à retenir : si l'on peut mettre la phrase au féminin (en prononçant "convaincante"), il faut utiliser "convaincant" avec un "c".
Exemple : "Cet homme est convaincant" ; "Convainquant l'Assemblée, le Premier ministre se fit ovationner".
Exemple : "Cet homme est convaincant" ; "Convainquant l'Assemblée, le Premier ministre se fit ovationner".
7. Cent ou cents ? Mille ou milles ?
En réalité, la règle à ce sujet est simple : les nombres sont invariables sauf "vingt" et "cent". Ceux-ci prennent un "s" lorsqu'ils sont multipliés et qu'ils ne sont pas suivis d’un autre chiffre.
Exemple : 80 s'écrit donc "quatre-vingts" alors que 83 s'écrit "quatre-vingt-trois" ; 160 donne "cent soixante" et 400’ s'écrit "quatre cents".
Exception : "million" comme "milliard" prennent des "s" car ils ne sont pas considérés comme un nombre mais comme un nom.
Exemple : 80 s'écrit donc "quatre-vingts" alors que 83 s'écrit "quatre-vingt-trois" ; 160 donne "cent soixante" et 400’ s'écrit "quatre cents".
Exception : "million" comme "milliard" prennent des "s" car ils ne sont pas considérés comme un nombre mais comme un nom.
8. Différence entre "censé" et "sensé" / "Davantage" ou "d’avantage"
La règle à retenir est la suivante : "sensé" signifie "qui a du sens" ou "qui a du bon sens" alors que "censé" signifie "supposé". Petite astuce pour ces homonymes : lorsqu'on peut remplacer "censé" par "supposé", il faut écrire "censé", avec un "c". "Davantage" est synonyme de "plus" tandis que "d’avantage" signifie "gain" ou "privilège".
Exemple : "Je suis censé rendre mon appartement" ; "Un individu sensé ne me menacerait pas de la sorte".
Exemple : "Je suis censé rendre mon appartement" ; "Un individu sensé ne me menacerait pas de la sorte".
9. "Dis" ou "dit"?
Ecrit-on "j’ai dit" ou "j’ai dis" ? Pour répondre à cette question, l'astuce la plus simple est de féminiser la phrase. Ainsi, cela permet de détecter la terminaison du participe passé et donc d'éviter toute erreur. Cette règle s'applique aussi pour la terminaison du participe passé issu des verbes du troisième groupe, à savoir les verbes en ‘-aître’, ‘-oître’, ‘-dre’, ‘-re’, ‘-oir’ et certaines verbes en ‘-ir’.
Exemple: "j'ai retranscrit l'allocution présidentielle". Pour ne pas faire de fautes, tournez la phrase en "l'allocution présidentielle a été retranscrite". La prononciation de la terminaison au féminin vous permettra de savoir qu’il faut un ‘t’ à la fin.
Exemple: "j'ai retranscrit l'allocution présidentielle". Pour ne pas faire de fautes, tournez la phrase en "l'allocution présidentielle a été retranscrite". La prononciation de la terminaison au féminin vous permettra de savoir qu’il faut un ‘t’ à la fin.
10. "or" ou "hors" ?
Pour cela, la règle est de savoir que "or" est une conjonction de coordination et "hors" est une préposition signifiant "à l'extérieur de". Ainsi, quand on peut remplacer "hors" par "en-dehors de", c'est qu'on a bien écrit.
Exemple : "Il est hors du jardin", "Or, à ce moment-là, il jouait".
Exemple : "Il est hors du jardin", "Or, à ce moment-là, il jouait".
11. L’accord du participe passé
La règle de base apprise dans tous les cours élémentaires est la suivante : le participe passé conjugué avec l'auxiliaire ‘être’ s'accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe, comme dans le cas de "elles sont parties à l'étranger". Avec l'auxiliaire "avoir", le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct (COD), si celui-ci est placé avant. S'il est placé après, alors le participe passé reste invariable.
Par exemple on écrit "j'ai mangé des fraises" et "les fraises que j'ai mangées". Il existe évidemment des exceptions et c'est pour cela que les Français pèchent tant sur cette règle.
Par exemple on écrit "j'ai mangé des fraises" et "les fraises que j'ai mangées". Il existe évidemment des exceptions et c'est pour cela que les Français pèchent tant sur cette règle.
12. La règle du participe passé "fait"
Dans ce cas, la règle est la suivante : lorsque le participe passé "fait" est suivi d'un infinitif, il est toujours invariable.
Exemple : "Mes joueurs, je les ai fait se reposer".
Exemple : "Mes joueurs, je les ai fait se reposer".
13. La règle du participe passé suivi d'un infinitif
Lorsqu'un participe passé, employé avec avoir, est suivi d'un infinitif, il ne s'accorde pas avec le COD même s'il est placé avant.
Exemple : "La pièce que j'ai vu jouer était très bien".
Exception : si le COD est l'auteur de l'action de l'infinitif, le participe passé s'accorde. Exemple : "Les enfants que j'ai vus s'amuser dans la rue sont ceux de mon boulanger".
Exemple : "La pièce que j'ai vu jouer était très bien".
Exception : si le COD est l'auteur de l'action de l'infinitif, le participe passé s'accorde. Exemple : "Les enfants que j'ai vus s'amuser dans la rue sont ceux de mon boulanger".
14. Autres exceptions du participe passé
Bien d'autres règles existent mais s'il faut en retenir une c'est celle-ci : le participe passé ne s'accorde pas avec le complément placé avant si celui-ci indique un prix, une valeur, une durée ou un poids.
Exemple : "Les deux heures que vous avez passé à travailler vous ont permis d'approfondir le sujet".
Exemple : "Les deux heures que vous avez passé à travailler vous ont permis d'approfondir le sujet".
15. Règle d'orthographe des adjectifs de couleur
Pourquoi écrit-on "robes bleues" mais "jupes marron" ? La règle est la suivante : en règle générale, l'adjectif de couleur s'accorde. En revanche, si un nom est utilisé pour désigner une couleur, comme marron, par exemple, il est invariable. Il existe cinq exceptions notables : rose, mauve, pourpre, écarlate et fauve. On écrit donc des "jupes marron" et des "jupes roses ou mauves".
Exemples : "Il a mis ses jolies chaussures marron" mais "Elle a de beaux yeux émeraude".
Exemples : "Il a mis ses jolies chaussures marron" mais "Elle a de beaux yeux émeraude".
A noter enfin que les adjectifs de couleur composés restent aussi invariables: "des briques rouges" mais des "briques rouge vif", des "pommes vertes", mais "des tissus ver
t pomme", etc.
LES RÈGLES DE FORMATION DES TEMPS COMPOSÉS
LES RÈGLES DE FORMATION DES TEMPS COMPOSÉS
Les temps composés sont formés de l’auxiliaire être ou avoir au temps simple correspondant, suivi du participe passé.
Chacun d'eux correspond à un temps simple :
le passé composé correspond au présent ;
le plus-que-parfait correspond à l'imparfait ;
le passé antérieur correspond au passé simple ;
le futur antérieur correspond au futur simple.
le passé composé correspond au présent ;
le plus-que-parfait correspond à l'imparfait ;
le passé antérieur correspond au passé simple ;
le futur antérieur correspond au futur simple.
Valeurs des temps composés de l'indicatif:
De manière générale, les temps composés servent à évoquer une action qui a eu lieu avant l'action exprimée par le temps simple correspondant : ils expriment l'antériorité par rapport aux temps simples.
De manière générale, les temps composés servent à évoquer une action qui a eu lieu avant l'action exprimée par le temps simple correspondant : ils expriment l'antériorité par rapport aux temps simples.
Le passé composé de l'indicatif est la forme correspondant au présent. C'est un temps du discours.
Il exprime une action achevée par rapport au moment de l'énonciation.
> J'ai révisé tous mes contrôles.
Il exprime l'antériorité par rapport au moment de l'énonciation.
> J'ai fait des courses ce matin, donc le frigo est plein.
Le passé composé est un temps de l'oral, alors que le passé simple et le passé antérieur sont des temps de l'écrit.
Il exprime une action achevée par rapport au moment de l'énonciation.
> J'ai révisé tous mes contrôles.
Il exprime l'antériorité par rapport au moment de l'énonciation.
> J'ai fait des courses ce matin, donc le frigo est plein.
Le passé composé est un temps de l'oral, alors que le passé simple et le passé antérieur sont des temps de l'écrit.
Le plus-que-parfait de l'indicatif est la forme correspondant à l'imparfait. C'est un temps du discours et du récit.
Il exprime une action achevée par rapport à un repère passé.
> Ils avaient acheté leur billet d'avion six mois plus tôt pour le payer moins cher.
Il exprime l'antériorité par rapport à une action passée. Il peut être employé à côté de n'importe quel temps évoquant le passé.
> Nous avions prévu d'aller nous balader, mais il pleuvait.
> Nous avions prévu d'aller nous balader, mais il se mit à pleuvoir.
Dans un système hypothétique avec si, le plus-que-parfait s'emploie en corrélation avec le conditionnel passé pour exprimer l'irréel du passé.
> Si elle avait eu de la chance, elle aurait remporté le premier prix.
Il exprime une action achevée par rapport à un repère passé.
> Ils avaient acheté leur billet d'avion six mois plus tôt pour le payer moins cher.
Il exprime l'antériorité par rapport à une action passée. Il peut être employé à côté de n'importe quel temps évoquant le passé.
> Nous avions prévu d'aller nous balader, mais il pleuvait.
> Nous avions prévu d'aller nous balader, mais il se mit à pleuvoir.
Dans un système hypothétique avec si, le plus-que-parfait s'emploie en corrélation avec le conditionnel passé pour exprimer l'irréel du passé.
> Si elle avait eu de la chance, elle aurait remporté le premier prix.
Le passé antérieur de l'indicatif est la forme correspondant au passé simple. C'est un temps du récit.
On le rencontre surtout à l'écrit.
Dans une proposition principale, il exprime une action achevée.
> Encore un choc sur la tôle du tub et j'eus terminé, dans le délai prescrit,
une toilette plausible, sans avoir touché une goutte d'eau.
(Marcel Pagnol, La Gloire de mon père, 1957)
Dans une proposition subordonnée introduite par après… que, dès… que, lorsque, quand, etc., il exprime
une action antérieure à l'action du verbe conjugué au passé simple dans la proposition principale.
> Quand ma mère eut bordé le petit Paul, elle vint me donner le baiser du soir.
(Marcel Pagnol, La Gloire de mon père, 1957)
On le rencontre surtout à l'écrit.
Dans une proposition principale, il exprime une action achevée.
> Encore un choc sur la tôle du tub et j'eus terminé, dans le délai prescrit,
une toilette plausible, sans avoir touché une goutte d'eau.
(Marcel Pagnol, La Gloire de mon père, 1957)
Dans une proposition subordonnée introduite par après… que, dès… que, lorsque, quand, etc., il exprime
une action antérieure à l'action du verbe conjugué au passé simple dans la proposition principale.
> Quand ma mère eut bordé le petit Paul, elle vint me donner le baiser du soir.
(Marcel Pagnol, La Gloire de mon père, 1957)
Le futur antérieur de l'indicatif est la forme correspondant au futur simple. C'est un temps du discours.
Il exprime l'antériorité par rapport au futur simple.
> Quand vous aurez compris la leçon, vous ferez les exercices.
Il permet d'envisager une action à venir par rapport à la fin de cette dernière.
> Simon aura fini sa rédaction dans une heure.
Il peut exprimer une supposition (valeur modale).
> On lui aura dit que vous étiez sortis.
Il exprime l'antériorité par rapport au futur simple.
> Quand vous aurez compris la leçon, vous ferez les exercices.
Il permet d'envisager une action à venir par rapport à la fin de cette dernière.
> Simon aura fini sa rédaction dans une heure.
Il peut exprimer une supposition (valeur modale).
> On lui aura dit que vous étiez sortis.
lundi 13 mars 2017
vendredi 10 mars 2017
Vocabulaire et expressions téléphoniques. Stratégies pour résoudre un problème au téléphone.
I. Vocabulaire et expressions téléphoniques.
II. Stratégies pour résoudre un problème au téléphone.
Exposer le problème :
J’ai réservé...
Je me suis inscrit(e) à..., mais il y a un imprévu.
Donner les références :
Le numéro de mon dossier, de ma réservation est le...
Je suis inscrit(e) sous la référence...
Mon numéro d’adhérent(e), de client(e) est le...
S’excuser :
Je suis désolé(e), navré(e), je vous prie de m’excuser.
Éclaircir une incompréhension :
Je me suis mal fait comprendre.
Je n’ai peut-être pas été très clair(e)...
Nous ne nous sommes pas bien compris(es).
Formuler sa demande :
Je voudrais, j’aimerais, je souhaiterais, j’aurais voulu savoir si...
Serait-il possible de...
Pouvez-vous changer, modifier les dates...
Est-ce possible de reporter la somme, l’avoir, le premier versement...
S’assurer que le problème peut se résoudre :
C’est donc possible de... ? Vous êtes sûr(e) que... ?
Il n’y aura pas de problème, pas de souci si... ?
S’informer de la marche à suivre :
Qu’est-ce que vous me conseillez de faire ?
Quelle est la procédure à suivre ?
Remercier l’interlocuteur :
Merci pour votre aide.
Vous avez été très aimable.
Je vous remercie infiniment.
mardi 7 mars 2017
lundi 6 mars 2017
dimanche 5 mars 2017
vendredi 3 mars 2017
jeudi 2 mars 2017
Les homophones ces / ses / c’est / s’est / sais / sait. Astuces orthographiques.
Cette leçon a pour but de vous proposer quelques astuces pour vous aider à faire le bon choix lorsque vous êtes face à des homophones grammaticaux.
C'est / ces / s'est / ses / sais / sait sont des homophones, mais ils n'ont ni la même orthographe ni la même utilisation.
C'est / ces / s'est / ses / sais / sait sont des homophones, mais ils n'ont ni la même orthographe ni la même utilisation.
Les homophones sont quelquefois difficiles à orthographier, quand on doute sur leur sens. Cependant, en les remplaçant par d'autres mots, on peut connaître leur signification et les orthographier avec précision.
Ses : adjectif possessif. On peut remplacer ses et le nom qui suit par les siens ou les siennes.
Ces : Adjectif démonstratif. Il sert à montrer quelqu'un ou quelque chose. Ces --> ceux-ci, celles-là..
C'est : Pronom démonstratif (c')+ verbe être à la 3e pers du sing. de l'indicatif présent. C'est --> cela est
S'est : Pronom personnel (s') +verbe être à la 3e pers. du sing. de l'indicatif présent. Il s'utilise généralement devant des verbes transitifs. Par exemple : Il s'est - lui-même - fait mal
Sais : Verbe savoir à l'indicatif présent, 1er ou 2e pers. du sing. On peut le remplacer par le verbe savoir à l'imparfait : savais
Sait : Verbe savoir à l'indicatif du présent, 3e pers. du sing. On peut le remplacer par le verbe savoir à l'imparfait : savait.
Les différentes façons de donner un conseil en français.
Aujourd’hui, on va voir les différentes façons de donner un conseil en français.
1.Avec l’utilisation du conditionnel + verbe à l’infinitif:
tu pourrais écrire à ton frère (vous devriez écrire à votre frère)
tu devrais écrire à ton frère (vous devriez écrire à votre frère)
Tu ferais bien d’écouter ton professeur (vous feriez bien d’écouter votre professeur)
tu pourrais écrire à ton frère (vous devriez écrire à votre frère)
tu devrais écrire à ton frère (vous devriez écrire à votre frère)
Tu ferais bien d’écouter ton professeur (vous feriez bien d’écouter votre professeur)
2. Utilisation de « à ta place », « si j’étais toi », « si j’étais à ta place » ou « à votre place », « si j’étais vous », « si j’étais à votre place »
à ta place, je partirais en vacances ( à votre place, je partirais en vacances)
3. Utilisation de « essaie de« , « tâche de » ou « essayez de« , « tâchez de » + verbe à l’infinitif
« essaie d’être à l’heure » (« essayez d’être à l’heure »)
4. Utilisation de : « tu n’as qu’à… » ou « t’as qu’à…(plus familier)/ « vous n’avez qu’à… »+ verbe à l’infinitif
« tu n’as qu’à te lever plus tôt » ou « vous n’avez qu’à vous lever plus tôt »
5. Utilisation des verbes conseiller et déconseiller
je te conseille de faire du sport tous les matins (je vous conseille de faire…)
je te déconseille de manger trop gras (je vous déconseille de manger…)
je te déconseille de manger trop gras (je vous déconseille de manger…)
mercredi 1 mars 2017
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